Wednesday, February 13, 2019

Les "BLACK PROGRAM" pour la construction du nouveau monde Nazi

Les « BLACK PROGRAM »: de Philadelphie à Mars… la construction du nouveau monde Nazi (1)


LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET RAINBOW

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Une expérience devenue mythique.

L’expérience de Philadelphie, autrement connue sous le nom de « Projet RAINBOW »(Projet Arc-en-ciel), a été longtemps un sujet de controverse et de débats passionnés. C’était une tentative lancée avant la guerre, par la marine Américaine, pour tenter de faire un bateau qui ne pourrait pas être détecté par les mines magnétiques et aussi indétectable par les radars.(1)
On parle aussi d’une tentative d’invisibilité et d’une expérience « multi-dimensionelle », mais c’est l’expérience elle-même qui amena en fait ces résultats.
Ils n’étaient pas attendus du tout par les scientifiques. Ils en furent les premiers surpris. Sinon, ils n’auraient pas fait l’expérience dans un port, presque « en public », si l’on peut dire.
Les résultats de ces expériences sont devenus très différents et beaucoup plus dangereux que ce que les scientifiques de la marine avaient prévu.
Bien que l’histoire elle-même semble trop bizarre pour être vrai, beaucoup trop de coïncidences ont eu lieu, pour penser qu’elle doit être fondée sur une certaine vérité. Les données techniques qui ont été également présentées sur le sujet détiennent des bases scientifiques beaucoup trop élevées pour être ignorées.
Beaucoup des histoires associées à cette expérience ont débutées par des rumeurs:« pendant un temps, pendant des mois ont circulé des rumeurs d’hommes voyageant à travers le temps, et des histoires horribles des hommes coincés dans les cloisons ou même dans le plancher du navire lui-même », se souviennent des marins de l’époque.

L’histoire du Projet Rainbow.

Dans les années trente, Nikola Tesla (2) se retrouva intégré (seulement à titre de consultant et pendant une courte période), dans un groupe de chercheurs pour expérimenter le déplacement à travers le temps et l’espace.
Et à la même période, l’Université de Chicago a étudié la possibilité d’invisibilité grâce à l’utilisation de l’électricité.
En 1939, ce projet a été déplacé au Princeton Institut for the Scinces and Technology of Material, qui n’est pas loin de Philadelphie. Là, ils ont réussi à rendre de petits objets invisibles. Ils ont présenté cette technologie au gouvernement. Les militaires, parce que c’était la guerre, voulurent la préserver pour leur utilisation personnelle.
Tesla est parvenu à la même conclusion que Einstein, qui est que cette technologie si elle est développée ne serait pas utilisée pour le bien et le bénéfice de l’humanité.
En 1943, le gouvernement a mené un essai sur les animaux domestiques sur un bateau. Le navire qui a finalement été utilisé pour l’expérience, le « USS Eldridge », est arrivé des chantiers navals de New York (un escorteur de l’US Navy, voir la photo ci-dessous). Le 12 août 1943, les animaux ont été placés dans des cages de métal sur le USS Eldridge. Le navire est devenu invisible mais quand il s’est matérialisé de nouveau, beaucoup d’animaux étaient portés disparus et les autres avaient subi un fort champs électrifié avec des marques de brûlures sur eux. Il fût décidé que ce ne serait donc pas testé sur les humains.
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Pourtant, le USS Eldridge, avec un équipage complet à bord aurait subi l’expérience de Philadelphie. Les hommes ne savaient pas ce qui allait se passer. Les générateurs ont démarré. Les commutateurs ont été enclanchés. Le navire a disparu et tout semblait bien se produire « normalement ».

L’expérience tourne mal.

Toutefois, malgré une incertitude sur la date exacte, l’expérience aurait bien eu lieu le 28 octobre 1943.
Des preuves substantielles indiquent la date d’octobre comme étant la plus précise. La Marine a publié le journal de bord du Eldridge et le journal de route et à aucun moment, il n’y est mentionné que le Eldridge se trouvait à Philadelphie. Cependant, ces documents auraient pu être facilement modifiés.
Dans le journal de route de l’Eldridge on peut lire: « L’Eldridge est resté à New York et le Long de Island Sound jusqu’au 16 septembre, jour où il l’a quitté pour les Bermudes. Du 18 septembre au 15 octobre, il a participé à des manoeuvres et des essais en mer. Le 18 octobre, il a été rattaché à un convoi en partance pour New York et y resta jusqu’au 1er novembre. Les 1er et 2 novembre, il est allé avec un convoi en direction de Norfolk et le 3 novembre, vers l’est escortant un convoi vers Casablanca. L’Eldridge est arrivé à Casablanca le 22 novembre et y resta jusqu’au 29 novembre, quand il partit pour New York à nouveau dans un autre convoi. L’Eldridge est arrivé à New York le 17 décembre. Du 17 décembre au 31 décembre, il s’est rendu à Norfolk avec quatre autres navires. »
Même si ce n’est pas le journal de route en intégralité, c’est le passage du journal du navire concernant la période pendant laquelle l’expérience a eu lieu (28 Octobre).
Il semblerait, d’après les documents officiels, que la Marine n’a jamais fait des expériences sur l’Eldridge.
Mais le gouvernement a été bien-sûr appelé à couvrir cette expérience à cause de la guerre et de la sécurité nationale. Un exemple identique d’une telle opération secrète, serait le « Projet Manhattan ». Ce projet couvrait la construction de la bombe atomique et pas un mot n’a été dit (officiellement) à ce sujet jusqu’à l’utilisation d’une bombe atomique.(3)
La Marine, à la recherche d’une réponse plausible, a suggéré que peut-être l’expérience de Philadelphie aurait été confondue avec des expériences faites pour tenter de rendre les navires indétectables aux mines magnétiques. Ce fût un processus en effet connu sous le nom de « démagnétisation ».
Mais le navire avait disparu du port de Philadelphie pendant environ 4 heures, et pas seulement quelques minutes.
La légende veut que le navire a été transporté à travers l’espace et le temps. Et serait apparut quelques minutes dans le port de Norfolk. Il se serait produit un genre d’arc électrique avec une connexion à l’espace-temps.
Quatre heures plus tard il réapparut à sa place initiale, à Philadelphie. Il y avait une brume verdâtre sur le pont. Certains des marins étaient en feu. Certains étaient en plein délire.Tous ont été malades. Certains avaient des crises cardiaques. Certains étaient morts. Certains faisaient partie de la superstructure du navire, ils avaient fusionné avec lui, « emmurés » dans le pont ou dans les parois du navire. Certains rapports ont indiqué que des hommes semblent avoir disparu et n’ont jamais été revus.
Mais où était le navire pendant les 4 heures de sa disparition?
Certains témoins l’ont indiqué dans le port de Norfolk. D’autres disent qu’il aurait voyagé à 40 ans dans l’avenir pour réapparaitre, pendant quelques instants à New York. (Il se serait produit une « boucle temporelle », entre 1943 et 1983, dû à une expérience de l’époque).(*)
La Marine a tout nié et affirmé que ces hommes ont été perdus en mer. Peut-être qu’un jour la vérité sera connue sur les conditions de leur fin.

Une nouvelle expérience et un témoin.

La marine a effectué une nouvelle expérience avec la centrale électrique navale de Timmerman USS dans les années cinquante.
Avec cette expérience ils auraient tenté d’obtenir 1000 Hz au lieu de la norme de 400 Hz du générateur. Elle a abouti à des jets de lumière. Ces grandes décharges de lumière ont été vues par Carlos Miguel Allende et l’a amené à commencer à écrire des lettres aux hommes éminents de la communauté scientifique.
La marine estime que Allende a confondu l’expérience de la Timmerman pour l’expérience de Philadelphie. (Alors qu’ils affirment que l’expérience de Philadelphie n’aurait jamais eu lieu. Vous voyez un peu la contradiction !).
Carlos Miguel Allende, également connu sous le nom Carl Allen, est né le 31 mai 1925 dans une petite ville de la Pennsylvanie. Le 14 juillet 1942, Allende a rejoint le Corps des Marines et a été libéré le jour 21 mai 1943. Il a ensuite rejoint la marine marchande et a été affecté au « Furuseth SS Andrew ». C’est sur ce bateau qu’il a témoigné avoir assisté à la disparition de l’Eldridge.
L’histoire d’Allende était bizarre, il a déclaré qu’il avait assisté à la disparition instantanée du navire dans le port de Philadelphie, pour le voir revenir, quelques minutes plus tard. Après des recherches sur la question, il a eu vent d’événements extrêmement étranges associés au projet et a écrit un résumé de ses connaissances nouvellement acquises dans une lettre au Docteur K. Morris Jessup. Le Dr Jessup est un astronome et Allende avait assisté à l’une des conférences de Jessup. Ayant apparemment du respect pour l’homme, il s’est décidé à confier à M. Jessup, ses connaissances sur « l’expérience de Philadelphie ». Les lettres ont été écrites bizarrement: avec une alternance de majuscules/miniscules, une ponctuation bizarre, et des soulignages situés un peu partout.
Les lettres étaient également écrites en utilisant plusieurs couleurs différentes.
Dans ses lettres, Allende a révélé les détails horribles de l’expérience de Philadelphie à Jessup.
Etant donné que Jessup était intéressé par les phénomènes bizarres, il n’a pas rejeté entièrement les idées qui lui étaient présentées. Jessup écrira à Allende pour demander de nouvelles informations. L’adresse de retour sur la lettre n’avait jamais existé selon la poste Américaine, mais Allende reçu malgré tout la réponse de M. Jessup. Allende a répondu avec des lettres plus détaillées, mais la correspondance a finalement était interrompue parce que le Dr. Jessup finit par croire à un canular.
Pendant le temps de la correspondance d’Allende avec Jessup, ce dernier avait tout récemment publié son livre intitulé « The Case for OVNI ». Après qu’Allende eu écrit à Jessup, ce livre a été envoyé au Département de la marine avec des notes manuscrites à l’intérieur du livre. Les notes étaient de la même écriture que les lettres envoyées à Jessup et, finalement, le Dr Jessup fût invité par la Marine pour consulter les notes.
Le Dr Jessup reconnut l’écriture immédiatement, mais il a été quelque peu étonné, comme il en avait conclu précédemment que, d’après-lui ce n’était qu’un canular pour le duper. Les notes dans le livre étaient plus détaillées que dans les lettres et très pertinentes, et le Dr Jessup finit par les croire et effectua des recherches sur la question. Malheureusement, le Dr Jessup ne trouva pas de nouvelles pistes, mais il découvrit tout de même certaines choses.

Un autre témoin apparait.

Deux membres d’équipage marchaient tranquillement dans un parc, quand un homme à l’air complètement hagard s’approcha d’eux. L’homme leur raconta l’histoire d’une expérience menée lors de laquelle la plupart des membres d’équipage sont morts ou ont souffert d’effets secondaires terribles. Il leur dit que le gouvernement a alors dit que l’équipage survivant était fou de sorte que quand ils chercheraient à raconter leur histoire, ils seraient simplement rejetés comme un groupe de gens dérangés, qui auraient concocté une histoire pour faire un canular.
Après la conversation, un des deux marins était convaincu et l’autre ne l’était pas. Finalement, celui qui avait été convaincu prit contact avec le Dr Jessup et lui raconta l’histoire. Même s’il s’agissait d’une petite partielle de piste, Jessup ne donna pas suite à cette histoire. Il avait trouvé que sa réputation dans la communauté scientifique ne faisait que s’aggraver. A la surprise générale, le Dr Jessup s’est finalement suicidé le 20 avril 1959. Certains pensent que son suicide était en réalité un assassinat par des agences gouvernementales pour maintenir le secret sur les résultats de l’expérience.(4)
Malheureusement pour le Dr Jessup, un indice majeur arriva peu de temps après sa mort. Cet indice était un homme du nom d’Alfred D. Bielek.

Encore un nouveau témoin, et une histoire encore plus étrange.

Son histoire est encore plus bizarre que celle d’Allende.
Bielek affirme qu’il a voyagé dans le temps, pour aller vers l’avenir et qu’une fois revenu, qu’il aurait été « reconditionné mentalement » par la Marine.
Ce lavage de cerveau l’aurait amené à croire que son nom était Alfred Bielek, plutôt que de son vrai nom, Edward Cameron (5). Lors de la découverte de sa véritable identité, il a retrouvé son frère qui avait également participé à l’expérience.
Inutile de dire que seul un petit groupe de gens croient Bielek et presque tout le monde pense que ses histoires sont basées sur une certaine vérité, mais qu’il exagère la vérité pour des raisons personnelles. Cette opinion semble s’être renforcée lorsque Bielek commença à se souvenir de certaines choses après avoir vu le film « The Philadelphia Experiment » (comme si le film l’avait influencé, mais cela lui aurait peut-être aussi aidé à se souvenir).
Bielek a un Doctorat en physique, alors il ne possède qu’une faible expérience technique. Il est également un ingénieur électricien à la retraite, avec trente ans d’expérience. En raison de son intelligence évidente et de son habileté, son témoignage ne peut pas être complètement écarté.
Bielek a déclaré que la technologie utilisée dans l’expérience de Philadelphie nous a été donnée par des extra-terrestres. Toutefois, le transistor en germanium, qui a avait été utilisé, selon les dires de Bielek, a été inventé par Thomas Henry Moray.
Bielek a également déclaré que le Dr Albert Einstein, Dr. John Von Neumann, et le Dr. Nikola Tesla ont été impliqués dans le projet.
Une controverse a surgi quant à la participation de Tesla parce qu’il est mort dans la ville de New-York le 7 janvier 1943, ce n’était que deux mois après que l’expérience eu lieu. Mais il fût en fait bien consulté, avant la tentative, pour la préparation de l’expérience. Einstein, d’autre part, a proposé un projet identique à la Marine à plusieurs reprises. Pour cette raison, il était probablement impliqué dans le projet. Quant à Von Neumann, il n’existe aucune preuve réfutant ou favorisant sa participation éventuelle. Il est prouvé, il l’avouera le fait que plus tard, qu’il a bien travaillé sur l’expérience, mais à un autre moment.

Le principe scientifique de l’expérience de Philadelphie.

Le principe qui sous-tend l’expérience de Philadelphie était la « Théorie des champs unifiés ».
Cette théorie soutient que la gravité et le magnétisme sont liés, tout comme la masse et l’énergie sont reliés par la formule E = mc2. Einstein n’a officiellement jamais résolu « la Théorie des champs unifiés », mais la nature même de l’expérience de Philadelphie suggère le contraire.
Il est probable que cette théorie est devenue un secret gouvernemental parce qu’elle est capable d’ouvrir des possibilités sur beaucoup de choses, très importantes, comme le voyage dans l’espace sans contrainte de temps ou de lieu. Ou encore plus incroyable, celui du voyage dans le temps.
Dans une recherche de données techniques réelles sur l’expérience, pas beaucoup d’informations peuvent être trouvées qui ne soient pas entachée de doute et de suspiçion. La conception de base serait basée sur deux grandes bobines Tesla (électro) apposées de chaque côté de la coque du navire. Les bobines sont activées selon une séquence particulière et leur force magnétique est si puissante qu’elles provoquent un champs magnétique lié à une boucle de gravité perpetuelle. Bielek dit aussi que le 12 août, tous les vingt ans, le champ magnétique de la Terre atteint un sommet et permet la synchronisation avec les bobines Tesla.
L’oscillateur que Bielek prétend avoir exécuter pour les bobines dans un modèle spécial parait fantaisiste à beaucoup de chercheurs, ils croient que c’est exactement ce qu’est l’histoire de Bielek, juste un canular. Bielek lui a donné un nom cependant: le« Générateur de référence du temps zéro ». Les oscillateurs ne se synchronisaient pas avec l’angle de phase réglable et créaient une onde de type scalaire (l’effet Anderson).
Plusieurs scientifiques d’aujourd’hui ont attaqué le témoignage Bielek sur cette question, car ils estimaient qu’un vecteur d’onde aurait été plus efficace et plus probable. Bielek ne précise pas si la puissance utilisée est AC ou DC, pulsés ou en rotation, et ce que sont exactement les micro-ondes et les fréquences radars utilisés. En d’autres termes, Bielek ne donne pratiquement aucune information technique précise qui puisse être utilisée.
Rick Anderson cependant, parait être en mesure de jeter quelques lumières sur le sujet. Il précise que les quatre émetteurs de radiofréquences ont été amenés progressivement à produire un champ tournant. Ce champ a été émis en impulsions à un cycle de 10% duty. Au lieu de deux bobines, il affirme que quatre bobines auraient été fixées sur le pont du navire et seraient dirigées par deux générateurs d’impulsions qui ont été tournés de manière « anti-horaire ». Anderson affirme que les bobines de Tesla devaient utiliser un total de 7500 pieds (environ 240 Km) de fil de bobinage. En raison de cette quantité énorme, personne n’a entrepris de refaire l’expérience en laboratoire ou en privé, le fil serait trop cher et doit être coulé d’une manière particulière (pour cause de l’effet Anderson). D’autres scientifiques croient que la « Résonance Magnétique Nucléaire » aurait un lien avec l’expérience de Philadelphie.

Les causes « scientifiques » des effets secondaires de l’équipage ou « la guerre des hypothèses ».

La « Résonance Magnétique Nucléaire » est également connue comme « l’imagerie par résonance magnétique » ou « IRM ». Pourtant, un autre scientifique nommé Alexandre S. Fraser croit que tout le monde se trompe sur les qualités électromagnétique de l’expérience. Il croit qu’elle n’a jamais été faite avec l’électromagnétisme, mais avec des champs thermiques. Ce champ thermique pourrait avoir causé l’effet de « mirage » optique que plusieurs témoins ont rapporté.
Fraser affirme que Allende avait parlé d’un « champs de force », de feu, et d’une vision déformée, qui sont tous des effets d’un champ thermique. Quant à la partie concernant la disparition de l’Eldridge devant leurs yeux, certaines conditions climatiques ont été connues dans l’océan pour provoquer des disparitions inexplicables. Ces conditions météorologiques ont eu lieu le jour de l’expérience.
Pourtant, un autre scientifique estime que les ondes sonores et ultrasonores ont été utilisées.
Les ondes sonores pourraient avoir été utilisées pour créer une « couverture aérienne » autour du navire, ce qui est cohérent avec les rapports. Il y a eu beaucoup d’expériences effectuées dans les années quarante avec des ondes ultrasonores de haute puissance, ce qui indique une forte probabilité que l’expérience de Philadelphie était l’une d’entre elles.
Des champs sonores sont connus pour avoir des effets secondaires néfastes sur les êtres humains, cela est également compatible avec les rapports. La brume verte qui a vraisemblablement environnée le navire a été causée par « sonoluminescense excitant l’eau de mer environnante avec des ultrasons puissants, et les phénomènes connexes. »
Le champ ultrasonore aurait causé à l’équipage des évanouissements et faire le voyage de Philadelphie à Norfolk semble ne durer que quelques minutes. Inutile de dire que les aspects techniques de l’expérience de Philadelphie sont un sujet de débat passionné entre les scientifiques et personne ne semble être en mesure de fournir des preuves solides.
Rick Anderson le dit très bien:
« Si les aspects techniques de l’expérience sont vagues et un sujet de controverse, les résultats de l’expérience sont tout aussi vagues. Un fait dont tout le monde semble d’accord est que le champ a été étendu sur de nombreux chantiers, jusqu’à peut-être cent, à l’extérieur du navire et dans l’eau. Tout à l’intérieur de cette sphère devient vague et flou dans sa forme et la seule chose visible était la forme de la coque de l’Eldridge dans l’eau. Ce champ semblait avoir une couleur verdâtre et était brumeux. Un autre fait sur lequel tout le monde est d’accord précise que l’Eldridge ne fonctionnait pas correctement après l’expérience et est devenue une source d’ennuis. Il y eu de nombreuses pannes et malfonctionements. »
Le dernier point admit par tout le monde et que les effets secondaires terribles se sont bien manifestés sur les membres d’équipage. Cependant, quand on creuse un peu ce sujet particulier, personne n’est d’accord sur des détails précis.
Certains témoins, Allende et Bielek notamment indiquaient que la matière elle-même a été changée et que les hommes étaient capables de marcher à travers des objets solides. Lorsque le champs a été coupé, certains membres d’équipage se sont retrouvés coincés dans les cloisons, d’autres dans le plancher. Certains ont été trouvés avec les grilles du navire bloquées à travers leur corps. C’était un spectacle horrible. Les marins qui racontèrent ces choses furent reconnus prétendument, être devenus fous. Après leur arrestation suite à une descente de la Police Militaire dans un bar, où ils racontaient leur aventure.
Ils avaient raconté à la fille du bar leur histoire complètement folle, et ça l’avait effrayé. Selon Allende, un article de journal a été écrit sur la descente, mais aucune date précise n’a été nommée, et l’article n’a pu être retrouvée.

Les effets secondaires se poursuivent, bien après l’expérience

La plupart des membres de l’équipage étaient devenus fous, mais quelques uns avaient conservé leur esprit.
Et, suite à un sérieux de-briefing, ils reprirent leur vie. Mais beaucoup subirent des effets, encore longtemps après l’expérience. Un homme était assi pour dîner avec sa femme et son enfant, mais alors qu’il se levait de table, ils le virent se promener à travers le mur, et n’a jamais été revu. Deux autres ont tout simplement disparu et n’ont également jamais été revus. Un autre membre d’équipage a disparu au milieu d’un combat, au grand étonnement de l’équipage. Les trois incidents ont eu plusieurs témoins.
Pourtant, les effets secondaires les pires étaient quand les hommes se retrouvaient « figés ». Ils leur arrivaient de devenir invisibles et d’être incapables de bouger, de parler, ou d’interagir avec d’autres personnes pendant une période de temps indeterminée.
Cela a été dit par d’Allende dans ses lettres à Jessup. Un « gel » durait de quelques minutes à plusieurs heures et provoquait des dommages psychologiques, mais ne provoquait pas la folie. Un homme ne sortait de son état figé, « gelé », que si les autres membres d’équipage ne posaient pas leurs mains sur lui pour lui faire reprendre le contact avec notre réalité.
Malheureusement, dans cet instant d' »imposition des mains », deux hommes qui avaient tenté de mettre la main sur l’homme se mirent à brûler, à petit-feu, pendant dix-huit jours. Les incendies n’ont pas pu être arrêtés, en dépit de multiples tentatives pour éteindre les flammes. L’imposition des mains a été interrompue et interdit à partir de ce moment.
Cela aurait un rapport avec « l’effet Zeeman ». Qui est définit comme un étalement des raies spectrales d’atomes, sous l’influence d’un champ magnétique intense. Les quelques marins restants ont eu des facultés « psychiques » accrues, et ils ont aussi essayé de faire des thérapies, et de l’hypnose, pour s’en sortir, « psychologiquement ». Malheureusement, ils ont tous été rejetés par la Marine comme mentalement inaptes.

La fin d’un Projet et le début d’un autre.

L’expérience de Philadelphie est devenue une saga de phénomènes étranges et de coïncidences particulières.
Il convient de noter que Allende est fermement convaincu que la Marine a complètement ignorer les avertissements concernant les effets secondaires que l’expérience de Philadelphie produirait sur l’équipage. Un rapport complet de l’expérience a été remis au Congrès et en le lisant les membres en furent si horrifiés qu’ils leur demandèrent de démanteler le projet immédiatement.
Cependant, la recherche se poursuivit par le biais du Projet Montauk, qui était dirigé par Dr. John Von Neumann, qui a également travaillé sur l’expérience de Philadelphie.(*)
Cette histoire est remplie de questions qui ne seront probablement jamais élucidées. Les seuls pouvant apporter des réponses étant les personnes concernées qui ont vécu ces événements.
Aujourd’hui, qu’est devenu l’Eldridge ?
Des rapports disent qu’il fût ensuite revendu à la Grèce et rebaptisé « Léon ». Un homme du nom de George N. Pantoulas soutient qu’il a été donné comme aide militaire des Etats-Unis à la Grèce entre la fin des années quarante ou au début des années cinquante et qu’il aurait servi dans la marine Grecque jusqu’en 1990 et ne serait plus en activité aujourd’hui. Il est supposé mouiller dans la station navale de Souda Bay en Crète. George a dit qu’il a visité le navire. Il a vu des fils étranges qui n’aboutissent nulle part. Il dit aussi que les hommes de l’équipage Grecque qui servirent à bord du navire se sentaient étranges par moment et ont eu à plusieurs reprises des hallucinations, quand ils servaient sur le bâtiment.
(1) Ce problème se trouva résolue assez simplement dès 1942. En produisant sur la coque des navires un courant alternatif. Cela neutralisait la capacité magnétique de la coque, et la rendait insensible aux aimants et indétectable aux « senseurs », le système de mise à feu des mines (bien sûr, un système d’isolation avez été prévu, pour ne pas électrocuter tous les marins). Ce n’était pas pour faire un bateau invisible, il est impossible de constituer une « flotte » avec des navires tous invisibles, car vous comprenez bien qu’avec tous les navires que l’on ne verrait pas, lors d’un trajet en mer, et bien tous les bateaux se rentreraient dedans !
(2) Nicolas TESLA est sans doute le plus méconnu, tout en étant le plus ingénieux des inventeurs en matière de tout ce qui touche à l’électricité. On lui doit une multitude d’inventions, toutes révolutionnaires, comme par exemple le poste de radio par les ondes, que l’on attribue à tort à Marconi.
(3) Le secret qui entourait ces recherches, était loin d’être aussi strict, que l’on pourrait le penser. Un technicien, qui travaillait lui-aussi pour l’armement, retrouva par-hasard un jour dans un bar, un de ces amis, qui était l’un des scientifiques du « Projet Mannathan ». Quand il lui demanda: « Mais qu’est-ce-que vous faites là-bas, à Los Alamos ? » L’autre lui répondit: « On fabrique une bombe atomique ».
(4) Circonstances très étranges en effet. Retrouvé dans le garage d’un de ces amis, dans sa voiture, avec un tuyau relié au pot d’échappement et entrant dans la voiture, toutes portes et vitres fermées. JESSUP avait découvert des structures artificielles sur la lune, et avait un manuscrit en attente d’être publié. Les circonstances de sa mort demeures étranges et son manuscrit avait disparu.
(5) Voir dans la cétégorie Les Programmes secrets: « Les Black Program: le Projet MK ULTRA/MONARCH ».
(*) Voir dans la catégorie Les Programmes secrets: « Les Black program: Le Projet MONTAUK ».
Source: L’Opération Philadelphie. Charles Berlitz, Editions J’ai lu.

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET PHOENIX

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Le Projet PHOENIX, une continuité de l’expérience de Philadelphie.

Le Projet Phoenix démarre réellement à la fin des années quarante, en 1947.
Il n’était pas vraiment un projet « à part entière » au départ. C’était une émanation du Projet Rainbow. Pour, dans une certaine mesure, étudier ses dysfonctionnements, et aussi tenter de trouver de nouvelles pistes, dans la recherche sur le déplacement spatio-temporel.
En effet, les scientifiques, apprenant la fin du Projet rainbow, allèrent voir les militaires, en leur disant que, même si l’expérience de Philadelphie s’était mal passé pour l’équipage, elle avait en fait était une réussite.
Vu que l’objectif était de rendre le navire insensible aux radars, et qu’il disparut complètement, cela signifiait que sans le vouloir, ils avaient réussi une « téléportation ». Les militaires parvinrent à convaincre leur hiérarchie, qu’il serait bon de continuer la recherche vers la possibilité, du voyage « spatio-temporel ».
Mais pour cela, il fallait d’abord comprendre ce qui n’avait pas marché, et en apprendre plus sur le « temps ». La tentative de contrôler le temps et les recherches sur les techniques misent en oeuvres, sont issues des travaux du Dr Wilhelm Reich, un scientifique Autrichien.

Appréhender les concepts « temporels et énergétiques ».

« L’éther », est un concept du 19ème siècle, qui se réfère à une substance hypothétique qui couvrirait l’ensemble de l’espace.
Il aurait servi comme moyen de lumière et d’autres formes d’énergie rayonnante. Cet « éther » est un concept populaire dans la littérature et a été utilisé par plus d’un écrivain de science-fiction comme un moyen d’expliquer le voyage spatial.
Par d’autres études, Reich a constaté que l’énergie orgone était responsable des tempêtes et des intempéries.
« l’orgone morte » ou énergie « DOR » était le terme utilisé pour décrire l’énergie négative qui se trouverait, par exemple dans les violents orages et les ouragans. Cette énergie aurait également était trouvé dans les personnes décédés.
Les personnes très actives aurait beaucoup d’énergie orgone, tandis que ceux qui étaient déprimés ou maussade avait un excès d’énergie DOR.
Après des recherches approfondies, Reich a finalement mis au point un appareil qui allait briser la concentration de l’énergie DOR. Lors de sa création avec un ballon météo, cet appareil pouvait dissiper ou détourner les orages. Armés de l’arme anti-tempête de Reich, le gouvernement américain a créé un dispositif de radio-sondage. Cet appareil se composait de plusieurs capteurs et d’un émetteur qui pouvait diffuser à travers plusieurs bandes de fréquences, et à provoquer, soit la hausse de l’énergie d’orgone ou à perturber l’énergie DOR.
Avec cette technologie, le gouvernement pouvait commencer, à contrôler la météo.(1)
Il convient de rappeler que tout appareil capable de transmettre à la fois une énergie orgone et DOR pouvait être utilisé pour influencer les gens.
Il est possible que le Projet Phoenix étudiait également des méthodes de contrôle démographique.
L’Union Soviétique aurait mené des expériences approfondies identiques sur des populations. Et ainsi de choisir par la radiodiffusion, soit de l’énergie orgone, soit de l’energie DOR dans certaines régions pour tenter de modifier les émotions des habitants.
Au début des années 1950 le projet Phoenix a vu d’autres objectifs, lui être assigné. La version révisée du projet Phoenix était d’approfondir l’étude des effets électromagnétiques et leur utilisation dans la réalisation des technologies de la « furtivité ». Il prit le nom de « Projet PHOENIX II ».

Le Projet PHOENIX II.

Le directeur de cette nouvelle phase du projet était le Dr. John Von Neumann, qui avait déjà était impliqué dans le Projet Rainbow. Il fût amené à superviser toutes les opérations.
Il s’est concentré sur le côté « métaphysique » des expériences pour tenter de déterminer ce qui avait mal tourné. Lui et son équipe ont travaillé pendant environ dix ans sur le problème, comprendre et étudier pourquoi les humains ont eu un tel problème avec les champs électromagnétiques intenses, surtout ceux qui étaient capables de produire le genre d’effets observés dans l’expérience de Philadelphie.

Une découverte fondamentale.

Ce qu’ils ont trouvé, c’était que les êtres humains sont né avec un « point de référence de temps ».
Ce « point de référence » avec le temps est lié aux champs électromagnétiques originaire de la Terre, pour ainsi aider l’homme à s’orienter et comprendre comment il fonctionne, par rapport à la nature en particulier et à l’univers en général.
Il s’agit en fait, d’une entité séparée, distincte du corps physique.
Lorsque les générateurs ont été mis en marche sur l’Eldridge, le lien vers ce point a été interrompu, causant à l’équipage un traumatisme massif, tant physique que mentale. Avec les conséquences que l’on connait.
Il a été déterminé que les dispositifs utilisés dans l’expérience originale de Philadelphie ont créés une réalité artificielle autour de l’Eldridge. Ainsi, le navire avait été retiré du « plan normal » de l’existence (notre dimension), le rendant invisible. Le problème était que la nouvelle réalité (l’autre dimension où voyagea le navire) n’avait aucun lien avec notre monde, désorientant ainsi quiconque se trouvant sur l’Eldridge.
Afin de surmonter ce problème, un instant de référence, « artificiel » fût créé.
Que pouvait relier n’importe quel personne potentielle. Grâce au développement d’une nouvelle technologie, des « bouteilles électromagnétiques » (style bouteilles de plongé), qui permettaient alors au sujet, un retour sûr, à son point d’origine. Vu que le lien n’était ainsi pas brisé, avec le « point de référence du temps ».
Ces « bouteilles », permettaient d’annuler toutes formes de désordre Trans-dimensionel. Une sécurité supplémentaire fût développé (mais le niveau de sécurité était de fait, aléatoire. Vu le genre de recherche effectuées ici).
Un ordinateur a été utilisé pour recréer les points de référence de temps de certaines personnes et de générer un fond de donnés électromagnétique de références de chacun. En connaissant précisément les « coordonnées » de chaque individu, il était plus facile, de les « caler » avec leur « point de référencement du temps », et ne pas les perdre, en les voyant disparaitre dans une autre dimension. Si ce système échouait, le corps physique et le mental se trouverait séparé, il en résulterait une folie définitive, à l’intérieur d’un « légume » humain.

Les conclusions du projet.

Cette phase du projet a été achevé en 1967.
Un rapport a ensuite était envoyé au Congrès affirmant que l’esprit humain pouvait être altérée par l’utilisation de l’électromagnétisme. Avec le développement de nouvelles recherches, on pourrait créer des dispositifs qui allait changer la façon dont les gens pensent. (Les résultats ne parlaient que des effets sur les individus. Puisque c’était pour étudier les effets néfastes de l’expérience de Philadelphie, que ce Projet avait vu le jour. Il ne parlait en rien des études sur la « téléportation »).
Le Congrès, craignant les résultats de ces expérimentations dans le contrôle de l’esprit de masse, ont refusé tout financement supplémentaire et, en 1969, a ordonné la dissolution du Projet Phoenix.
(1) Ce seront les toutes premières recherche en contrôle de la météo, qui aboutiront bien plus tard, à quelque chose d’ultra-moderne et perfectionné, le « Projet HAARP ». Voir dans la catégories « les programmes secrets », pour plus d’informations.
Source:
« The Montauk project, Experience in time », par Preston B. Nichols et Peter Moon, Editions Sky Book.

LES « BLACK PROGRAM »: LE PROJET MONTAUK

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Une suite au Projet PHOENIX.

Suite à l’annulation du Projet Phoenix en 1969, les personnes impliquées ont été confrontées à un dilemme. Trouver un moyen de continuer leurs recherches ou bien de tout laisser tomber.
Ils avaient passé la majeure partie des vingt dernières années à développer le contrôle mental et effectuer des recherches dans les technologies « furtives », et le Congrès avait tout stoppé car il ne voulait pas qu’elles soient utilisées, les jugeant trop dangereuses.
Sans se décourager, les scientifiques sont allé à la rencontre des seuls qu’ils ont toujours connue et qui souhaitaient, comme eux, se lancer dans la recherche et le développement des dispositifs découverts au cours du Projet Phoenix, il s’agissait bien sûr des militaires.
Naturellement, les militaires s’étaient montrés très intéressé à l’idée de pouvoir disposer d’un système d’armes qui leur permettraient de vaincre un ennemi sans devoir tirer un coup de feu.
Ils ont convenu de poursuivre le projet, en secret, sans en informer le Congrès.
Et ils se sont chargé de la mise en place du personnel du Projet Phoenix dans un endroit isolé où une expérimentation appropriée, et plus poussé, pourrait y être menée.
Les militaires avaient également accepté de fournir des équipements et du personnel supplémentaire, dont le projet avait besoin pour pouvoir procédé à ses expérimentations.

Des moyens supplémentaires.

Un des objets primordial du matériel fournit par les militaires était un système radar de modèle « Sage ». (Un gros modèle très puissant, identique à ceux que l’on peut voir sur les porte-avions).
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Ils avaient découvert que des signaux radio dans la gamme comprise entre 425 à 450 mégahertz étaient nécessaires pour « pénétrer » la conscience humaine, pour permettre les tentatives de contrôle mental.
Le système radar Sage peut fonctionner à ces fréquences, et pouvait être transformé facilement en un énorme appareil de « radio-sondage ». De plus, le système radar Sage utilisé, faisant partie d’une installation quasi-abandonnée, les scientifiques pourraient l’utiliser sans devoir rendre des comptes à la sécurité nationale. Étant donné que la base et ses installations, étaient pour les responsables de la Défense-nationale, officiellement désaffectée.
La base en question, était la « Montauk Air Force Base », situé dans l’enceinte de « Fort Hero » sur la ville de Montauk Point, dans l’île de Long Island, dans l’Etat de New York.
C’était parfait pour les besoins des scientifiques du Projet Phoenix. Les installations de la base étaient relativement isolés, et surtout était équipé d’un système radar « Sage » qui pouvait être transformé avec facilité.

Le Projet « Phoenix II » devient le Projet « Montauk ».

En plus de se reconstituer dans un nouveau projet, et la réouverture de la Montauk AFB, les scientifiques ont baptisé leur nouveau projet, « le Projet Phoenix II ». Plus tard, le projet deviendra « le projet Montauk », le nom par lequel il est connu aujourd’hui.
Le financement pour Phoenix II ne venait pas de l’armée, celle-ci n’a fournie que les hommes et le matériel, mais de sources extérieures. C’est parce que le projet lui-même avait été interdit par le Congrès et opérait maintenant de manière secrète et totalement indépendante.
La Montauk AFB, avait été fermée depuis 1969, et ne recevait donc plus aucun financement du gouvernement. Donc, la question du financement du projet se pose.
Les circonstances réelles qui entourent le financement du Projet Phoenix II sont enveloppés d’un secret presque encore plus grand que le projet lui-même.

Les expériences peuvent commencer.

La base de Montauk a été ré-ouverte à la fin de 1971 (même si elle était encore considéré à l’époque, comme une base désaffectée par l’armée). Avec bon nombre de scientifiques d’origine du projet Phoenix, il y avait des membres de l’armée, des employés du gouvernement et du personnel civil mis à disposition, en provenance de sociétés diverses.
Un certain nombre constituant le personnel présent était des militaires. Des techniciens « radar » de l’Air Force, qui avaient travaillé avec le système de radar Sage tout au long des années 60.
Ils ont signalé que l’humeur générale dans la base avait changé, en fonction de la fréquence et de la durée de l’impulsion du système radar.
Cette information était considérée comme très importante pour les scientifiques, qui ont rapidement déterminé que par la modification des taux et la largeur de l’impulsion radar, ils pourraient modifier superficiellement la façon dont les gens pensent et ressentent les choses.
Cette découverte a incité un certain nombre d’expériences, pour déterminer ce qui a provoqué les effets ressenties par ces fréquences.
Un certain nombre de personnes ont été utilisés dans ces expériences, bien que le sujet choisit en premier pour les tests, était un homme du nom de Duncan Cameron (1) (nous y reviendrons plus loin).
Les sujets d’essai ont étaient placés à l’intérieur d’une petite pièce sur la base et le système de radar Sage a était pointé sur cette pièce, avec un champs avec des quantités massives de micro-ondes et d’ondes radios.
En changeant la fréquence et les impulsions du radar, ils pouvaient faire rire personne, provoquer des cris de colère ou une somnolence. Comme effet secondaire, il a était constaté un état d’esprit général de la base, identique. Par la suite, une pièce isolée et plus éloignée fût trouvée, pour éviter de contaminer toute la base avec les effets du signal du radar Sage.
Maintenant qu’il avait été prouvé que le radar Sage pouvait affecter les états émotionnels, l’étape suivante a consisté à essayer de contrôler les pensées d’une personne.
Des essais ont été menées dans le lequel le taux d’impulsions et d’amplitude du système radar ont été modifiés pour correspondre avec les différentes fonctions biologiques dans le corps. Cela permis aux scientifiques de pouvoir contrôler effectivement, les faits et gestes et les pensés de quelqu’un.
Il convient de souligner que plonger une personne dans des quantités massives de radiations micro-ondes et d’intenses ondes radios n’est pas sain. Beaucoup des sujets soumis à ces expériences ont littéralement étaient cuits par les ondes radios, causant des graves dommages internes aux poumons et au cerveau.
Avec d’autres essais il a été établi que ces dommages ont étaient causés par un « rayonnement brûlant ».
Une technique de « Rayonnement non brûlant » a été mis en place par le côté opposé du réflecteur radar. Ainsi, les scientifiques ont décidé d’inverser l’antenne du radar d’environ 180 degrés, et de diriger la radiodiffusion à « rayonnement brûlant » dans le ciel, et en utilisant les « rayonnements non-brûlants » pour mener leurs essais. À leur grande satisfaction, ils ont découvert que le « rayonnement non brûlant » pouvait aussi bien altérer l’humeur et les pensées et ce, sans endommager physiquement, les sujets des tests.

La technique se perfectionne.

En 1973, le processus expérimental a atteint une nouvelle étape. Les scientifiques ont voulu expérimenter avec de grands groupes de personnes, en changeant leurs pensées et leurs humeurs en masse et de procéder à un suivi des résultats.
Les unités de l’armée Américaine ont été envoyées à la base pour, soi-disant, une affectation temporaire « en soutien de la recherche » et pour des exercices de routines. Ils devinrent les cibles involontaires des expériences sur les psychotropes. Des expériences similaires ont également été effectuées sur les personnes vivants à proximité, sur Long Island, de même que dans les Etats du New Jersey, de New York et du Connecticut.
Le but de ces essais étaient très simple. Il s’agissait de construire une base de données des paramètres d’impulsions et les effets secondaires qu’ils ont causés.
Avec le temps, les scientifiques ont été capables de construire un panneau de contrôle qui leur a permis de diffuser des signaux prédéfinis, permettant ainsi des effets de contrôle de l’esprit, parfaitement cohérent.
Les essais ont permis aux scientifiques de créer une grande variété d’effets, en fonction des paramètres introduits dans l’émetteur. Les programmes informatiques ont été écrits, pour permettre aux chercheurs de créer très simplement des modifications de l’humeur et du comportement.
Fiers de leurs succès, ils firent des essais sur l’animal, et ont découvert qu’ils pouvaient aussi influencer ces êtres vivants. Il était possible d’augmenter leur taux de criminalité, les inciter à la violence et provoquer chez eux une panique de masse. Ils ont même élaboré des programmes qui visaient des véhicules, propulsé par un moteur, pour le désactiver en le bombardant de rayons, et ainsi mettre hors d’usage l’ensemble de ses fonctions électriques.
À ce stade, l’équipe de Montauk avait mis au point une méthode fiable pour contrôler les pensées des autres.
Mais sur un ensemble de population, ou bien une personne en particulier, mais qui était assez près, de l’émission d’ondes. Maintenant, ils voulurent construire un appareil qui leur permettrait une manipulation d’une cible bien précise, à très longue distance.
La portée du projet Montauk était sur le point d’atteindre ses objectifs, bien au-delà de leurs espérances.

La création de « la chaise de Montauk ».

Le World-Wide ITT Communications Corporation a construit un dispositif permettant une lecture de l’esprit.
Le dispositif traduit le champ électromagnétique, ou « aura », qui est visible autour du corps dans une « information formatée », parfaitement lisible.
Le composant principal de ce dispositif était un « Cray 1 », un super-ordinateur qui a transformé les données de la mémoire et des pensés, en quelque chose de clair, qu’une personne pourrait comprendre.
La technologie utilisée pour créer ce dispositif nous est inconnue.
Selon plusieurs sources, certaines des informations techniques de base auraient été fournie par la récupération d’une technologie extra-terrestre. Ces extra-terrestres auraient été les « Siriens », du système d’étoiles de Sirius. Pourquoi donnèrent-ils les indications de cette technologie aux humains, nous n’en savons rien.
Au cours du Projet Montauk, le personnel de recherche s’est rendu compte que ce « dispositif de lecture de l’esprit » pourrait facilement être converti, pour devenir un « dispositif de contrôle de l’esprit ».
Ils réussirent à connecter le dispositif, via un périphérique, jusqu’à une série d’ordinateurs, des bobines électriques et le système de radar Sage, créant ainsi un puissant émetteur qui pourrait être utilisés pour diminuer les risques pour les sujets cobayes qui subissaient les tests d’invisibilité et pouvoir commencer les expériences de voyage dans le temps. Parce qu’ils étaient arrivé à la découverte de l’existence de mondes parallèles. Et de là, le voyage dans le temps leur semblait possible.
Ce nouveau dispositif a était appelé le « Protocole Montauk » et est entrée en vigueur en 1974. relié à un Cray 1 et à un ordinateur IBM 360, les chercheurs faisaient assoir une personne psychiquement consciente et active (tel que Duncan Cameron, par exemple) étant sous « protocole » et ils ont essayé de transmettre leurs pensées à une autre personne, mis en condition semblable, prête à réceptionner l’information à la société ITT (situé dans la ville de Southampton, Long Island).
Après environ une année d’expérimentation et de recherche, les chercheurs disposaient désormais d’un dispositif capable de projeter des pensées d’une personne vers un emplacement éloigné de plusieurs kilomètres. Malheureusement, il existait maintenant un nouveau problème à résoudre, Les problèmes « temporels ».
Les problèmes de temps, ou temporel eurent tendance à se produire et à briser les transmissions de pensée entre Montauk et Southampton.
Ils avaient été causés par des projections d’une réalité différente de « notre » réalité. Cela risquait de provoquer l’écoulement du temps d’une manière différente et de perturber e lien entre les deux « protocoles », qui se trouveraient coupés.
Afin de corriger ces problèmes et de traiter les interruptions dans l’écoulement du temps, les chercheurs de Montauk ont redessiné et reconstruit le protocole, suivant de près le prototype original et les méthodes utilisées pour le construire (qui aurait était fourni par des entités extra-terrestres). Et ils lui donnèrent la forme d’un fauteuil. Que l’on appela: « la chaise de Montauk ».
Cette seconde génération du « Protocole de Montauk » fût utilisée en le combinant avec diverses bobines « Tesla », afin de créer les champs d’énergie souhaitée. Il était également à l’abri de toute perturbations extérieures, grâce aux bobines complètement repensées qui servaient à alimenter la chaise et a créer les champs électromagnétiques. Après plusieurs alignements et ajustements, la nouvelle chaise était opérationnelle au début de 1976. Ce qui allait survenir par la suite allait être tout-à-fait étonnant.

La création spontanée, d’après la pensée.

A ce stade, toutes les expériences et les essais portant sur le « Protocole Montauk » sous forme de « chaise », fût utilisé sur Duncan Cameron.
Duncan était un puissant psychique, utilisé dans de nombreuses phases des expériences de Montauk. La raison principale pour laquelle il a était utilisé si souvent dans les expériences relatives à la chaise était due à certains à cause de la« manipulation mentale » qu’il avait subit, et qui lui ont donné une « forme de conscience altérée ». Il était beaucoup plus docile et obéissant que les autres.(2)
Ce que cela signifie, c’est que son esprit conscient serait effacé, et une autre « personnalité » serait autorisée à devenir active.
Cette autre « personnalité » était très influençable, très contrôlable et avait tendance à agir en concentrant toute sa puissance « mentale » sur un sujet, permettant un affichage beaucoup plus net. Et de mieux voir la conscience réagir.
Après environ une année de tests, le « Protocole Montauk » avait démontré le pouvoir de fonctionner sans aucunes failles.
Ensuite, au lieu de transmettre des pensées, les chercheurs ont voulu essayer quelque chose de nouveau, tenter la création d’objets solides.
L’idée était que Duncan devrait visualiser un objet et à condition qu’il y ait suffisamment de puissance provenant de l’émetteur, de pouvoir le matérialiser quelque part sur la base.
Ce processus n’est pas sûr à cent pour cent, parce que, certains objets sont restés intangibles et d’autres disparurent dès que l’émetteur avait été éteint. Mais, si on lui donnait une puissance suffisante, Duncan pouvait créer des objets permanents. La taille et le type d’objet a semblé seulement être limité par son imagination, et on dit qu’il réussit à matérialiser des bâtiments entiers au cours de ces expériences.

Il semblait ne plus y avoir de limites.

Après le succès des expériences de création d’objets, les chercheurs de Montauk ont commencé à intensifier leurs tests en essayant la manipulation de l’esprit humain directement.
Les premières expériences de cette fonction implique la théorie de ce qu’on appelait « voir par les yeux de quelqu’un d’autre« . C’est là que Duncan reçut une mèche de cheveux et s’est concentrée sur l’objet (la mèche de cheveux) qui était venu de l’autre personne. Il pouvait alors voir et entendre tout ce que cette personne avait pu voir et entendre, peu importe où se trouvait cette personne.
Après cela, les tests ont étaient poussés un peu plus loin. Au lieu de regarder tout simplement par les yeux et les oreilles d’un autre, Duncan a tenté d’influencer réellement ce que la personne pouvait penser et faire. En se concentrant par la pensée, Duncan pourrait prendre en charge l’esprit de quelqu’un d’autre, et lui faire faire ce qu’il (Duncan) voulait. On peut pratiquement être « programmé » pour faire presque tout. D’autres expériences ont montré que de grands groupes de plus de deux personnes et aussi les animaux pouvaient être affectées.
Avec le temps, on a découvert que l’esprit d’une personne pouvait être contrôlée. Ils pouvaient perturber les appareils électriques, qui pourraient être sujet à un dysfonctionnement, un court-circuit ou rendues inutilisable d’une autre manière.
Les effets qui ont étaient découverts, prirent le nom de « Telekinetic ». Duncan était en mesure de déplacer des objets, de briser des fenêtres et de transformer des salles entières en un tas de débris.
Même avec l’ensemble des découvertes étonnantes qu’ils avaient faites, l’équipe n’était pas encore au bout de ses surprises. Depuis 1979, le projet Montauk était prêt à faire plus que de manipuler l’esprit des gens, ils étaient sur le point de modifier le flux du temps lui-même.

Le voyage dans le temps (étape surnommée « le projet Phoenix III »).

Les expériences avec la projection de la pensée au début de 1979 avaient révélées un effet secondaire intéressant.
Plusieurs fois, les pensées de Duncan se trouvaient projetées par l’émetteur, mais le signal soudain disparaissait. Au début, ils pensèrent à un mauvais fonctionnement, jusqu’à ce qu’ils remarquèrent que beaucoup de choses que Duncan avait tenté de projeter ne s’affichaient pas (ou se produisaient) mais alors plusieurs heures plus tard (ou même quelques fois avant).
Apparemment, Duncan a été capable d’altérer l’écoulement du temps (ou en opérant en dehors de la contrainte du temps).
D’autres recherches ont montré que la mise en place d’être utilisés pour les expériences et les tests n’ont pas suffisamment de pouvoir pour « plier » correctement le « temps »et provoquer un décalage horaire. Pour atteindre la pleine maîtrise sur l’écoulement du temps, les chercheurs ont installé ce qui est dénommé « l’antenne d’Orion, Delta-T ».
On disait que l’antenne était basée sur les dessins donnés au projet par les extraterrestres de la constellation d’Orion. Comme pour les Siriens, on ne sait pas exactement pourquoi ils nous auraient donné ces plans.
L’antenne « Delta-T » a été placée dans une chambre souterraine énorme creusée sous la base de Montauk. L’antenne elle-même était d’environ 100 à 150 pieds de haut (entre 30 et 50 mètres), et la chambre était à près de 300 pieds sous terre (100 mètres).
L’installation du « Protocole de Montauk » a ensuite été placé au-dessus et en dessous de cette antenne de l’émetteur utilisé pour diffuser des signaux projetés dans les deux directions. Cela mettait « la chaise », dans un champ nul qui a supprimé toutes perturbations des champs générés par l’émetteur et les autres perturbations périphériques.
Après l’installation de la nouvelle antenne (qui a eu lieu de 1979 à 1980) et l’étalonnage de l’équipement neuf, ils constatèrent que Duncan avait un contrôle quasi total sur le flux du temps.
Il pouvait « ouvrir » des portails « temporels » à n’importe quel moment en se concentrant sur une date précise.
Ces portails ressemblaient à de larges spirales ou des tourbillons.
A l’intérieur du portail se trouvait un tunnel avec de la lumière au bout.
On peut regarder à travers un portail pour voir un portail ou une fenêtre plus petite à l’autre extrémité. En traversant le tunnel, une personne pouvait relier un autre tunnel, que le tunnel auquel elle était « connecté ». Les tunnels ne sont pas toujours tout droit. Parfois, des pannes d’électricité entraînait disparition des tunnels, avec la perte de quelqu’un à l’intérieur. Il serait perdu quelque part dans le temps avec aucun moyen de retour.
Il y avait cependant quelques problèmes avec les portails initiaux du temps. Les portails avaient tendance à dériver et les gens dont on a envoyé la pensée n’étaient pas toujours en mesure de trouver le portail pour le retour.
Il a fallu de 1980 et 1981 pour calibrer l’équipement et former Duncan pour maintenir le portail parfaitement stable. Et quand les chercheurs ont réussi à stabiliser et verrouiller avec succès les portes du temps crées par Duncan, la nature du projet à encore changé.
La quasi-totalité du personnel a était remplacé. Une nouvelle équipe de personnes, tant scientifiques, techniciens que militaires travaillaient donc à la base.
Le projet a était rebaptisé « Projet Phoenix III » et de 1981 à 1983, l’objectif du projet était d’explorer le temps lui-même.
Mais en y envoyant plus les gens, en « esprit », mais bien des personnes physiques.
Une nouvelle installation fût imaginé et construite. D’après différents témoignage, elle devait ressembler à quelque chose comme ça, d’après une représentation d’artiste:
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Une expérience qui défie l’imagination

Afin d’explorer ce qui existe au-delà des tunnels, les chercheurs de Montauk ont enlevé un grand nombre de sans-abri.
Ils passaient un certain temps (une semaine environ) à les préparer pour le voyage et pour les envoyer ensuite vers l’inconnu. Si ils revenaient, ils devaient faire un rapport complet de ce qu’ils avaient vu. Malheureusement, beaucoup n’auront pas cette chance.
C’est pourquoi le projet a utilisé des sans-abri, car ils étaient séparé de leur famille ou bien n’en avait plus. Personne ne remarquerait si ces personnes étaient portées disparues.
Le projet a également utilisé un grand nombre d’enfants dans ces expériences.
Ces enfants étaient exclusivement de sexe masculin, âgés de 10 à 16 ans, et beaucoup étaient blond aux yeux bleus avec la peau claire.
Nous ne savons pas pourquoi la plupart avait le stéréotype de la « race aryenne ». La raison exacte d’utiliser des enfants est inconnue.
Les chercheurs avaient découvert de nombreuses pistes vers des mondes « parallèles ». Mais certains leur semblait plus intéressant que d’autre.
Et les enfants ont tous étaient d’abord envoyé en l’année 6037, dans le futur, pour enquêter sur une ville en ruine.
Là, ils ont eu à examiner la statue d’un cheval faite dans un métal qui ressemblait à de l’or pur.(3)
Ils firent un rapport sur ce qu’ils avaient vu.
Après cela, les enfants ont été envoyés dans d’autres « programmes », mais on ignore ce qu’ils sont devenu. On découvrit plus tard que le projet était lié à une sorte d’organisation néo-nazi, et que ce sont eux qui ont choisi les enfants qui ont été recrutés pour servir dans ce groupe.
Il y eu certains cas ou de nombreuses personnes, par groupe, l’un après l’autre, furent envoyées entre 200 et 300 ans dans le futur, de manière « systématique ». Comme pour les enfants, l’objet précis de cette opération est inconnu.
Enfin, ils s’intéressèrent aussi aux évènements du passé. Ils regardèrent les événements de la Première et la Deuxième Guerre mondiale. De même que l’époque de Jésus en Galilée (il existerait un film de la crucifixion, et d’autres scènes de la vie de Jésus). Des films et des photos auraient même étaient prit et de nombreuses choses, qui restaient sans réponse, auraient été ainsi mieux comprises.(4)
On ne sait pas si le personnel du projet à porté atteinte ou à tenté de modifier des événements spécifiques au cours de l’histoire passé.

Les voyages dans l’espace

Avec le succès de la recherche sur le temps, les chercheurs de Montauk ont commencé à se mettre à chercher des planètes lointaines. L’exploration des planètes était la prochaine phase de Phoenix III.
L’idée était de créer un portail entre la Terre et Mars.
Plus précisément entre la Terre et les Pyramides de Mars qui se trouvaient à proximité du grand visage de Mars dans le site de Cydonia. Il était évident sur les photographies de cette région de Mars apporté la preuve d’un grand nombre de structures artificielles, y compris des pyramides, le grand visage, un front de mer et même se qui ressemblait à une ville.
C’était le but des chercheurs d’explorer ces structures et déterminer par qui (ou par quoi) elles avait étaient construite.
Certains renseignements disent qu’il existerait ou a existé un programme spatial secret, mit en place conjointement par les Etats-Unis et l’Union Soviétique et qui aurait établi des bases sur la Lune et Mars.
Apparemment, les hommes auraient atterri sur mars en 1962. Grâce à la technologie des véhicules à anti-gravité (soucoupes volantes) construit avec la compilation du savoir des chercheurs nazis en la matière et de la récupération de plusieurs épaves extra-terrestres (5).
Le véhicule utilisait pour ces voyages s’appelait le « A.R.V. » (« Anti-gravity Research Vehicle ». Dans le milieu « ufologique » on a prit l’habitude de l’appeler « Alien Reproductive Vehicle »).
Afin d’explorer à fond les pyramides de Mars, le projet devait pénétrer à l’intérieur des structures elles-même. Cela a été accompli en utilisant Duncan, pour créer un portail temporel à l’intérieur de l’une des pyramides.
A ce stade, des équipes à pieds pouvaient entrer par le portail de Montauk, jusqu’à la zone de la surface martienne. (Avec l’équipement adéquat, c’est une autre planète). Même si on en sait peu sur ce qui se trouve dans cette immense pyramide, nous avons tout de même quelques renseignements.
Duncan Cameron lui-même était un membre d’au moins une des équipes qui se rendirent sur Mars, et il décrit avoir vu quelque chose qu’il appelle « The Solar System Defense » qui devait être désactivé avant que toutes autres recherches supplémentaires ne puissent être envisagé (6).
Enfin, la preuve de vie intelligente sur Mars a était trouvé, mais les chercheurs ont dût créer des portails temporels qui s’étendaient à plus de 125000 ans dans le passé pour le découvrir. (La vie sur Mars se serait donc éteinte il y a 125000 ans. Beaucoup plus récemment que l’on nous le dit).
Les détails exacts sur les autres découvertes sont inconnus.

La fin du Projet Montauk.

Le projet Montauk a finalement été arrêté le 12 août 1983.
A cette date, un portail temporel avait été ouvert, celui qui reliait la base de Montauk avec le « USS Eldridge » d’il y a 40 ans, au cours de la première expérience de Philadelphie.
Ce portail avait été ouvert de leur propre chef. vu qu’il voulait tenter de couper « la connexion », avec l’expérience de 1943, afin d’annuler la « boucle temporelle ».
Plusieurs membres du projet, étaient devenu de plus en plus mal à l’aise avec les objectifs et les desseins des responsables du projet (avec la possibilité d’interagir avec le temps et l’espace, ils pourraient modifier l’histoire actuelle. Ou provoquer d’autres changements ou des effets irrémédiables. Ils n’avaient pas tort.
L’Eldridge de 1943 apparu sur l’eau, au large de Montauk, près d’un quai. Il était prévisible que cela puisse se produire, mais ils étaient quand même étonné d’apprendre que le navire s’était bel et bien matérialiser. Al Bielek et Duncan Cameron furent alors envoyés « en urgence », en 1943 pour détruire l’équipement du navire et arrêter la « connexion » avec l’expérience d’il y a 40 ans..
Mais il y eu bien pire, par la suite.
Un jour, une créature, ou une « bête », comme un monstre poilu de grande taille, se matérialisa soudain dans la base. Elle chercha à détruire et à manger tout ce qu’elle pouvait trouver. Pendant ce temps, les membres du projet, complètement paniqué, commencèrent une tentative pour couper l’alimentation de l’émetteur de la base pour faire disparaitre la créature.
Après avoir été obligé de détruire une partie de l’équipement, car de couper l’alimentation n’avait pas suffit, le transmetteur était hors tension et la « Bête » s’est heureusement évanoui.
Après le désastre du 12 août 1983, le projet Montauk fût arrêté.
La base a était vidé de tout le personnel. Avec ordre de ne parler à personne et d’oublier ce qui s’était passé. Presque un an plus tard, en mai ou juin 1984, une unité des « bérets noirs » (les « Delta force ») est entré dans la base, ayant l’ordre de tirer si quelqu’un ou quelque chose s’y trouvé. Ils débarrassèrent la base de tous les équipements compromettants, et veillèrent à supprimer tout matériel considéré comme sensible.
Après cela, les chambres souterraines ont été bouchées.
Selon une source, l’une des salles vidée contenait des centaines de squelettes humains (Les victimes des tests ayant mal tournés).
Enfin, à la fin de 1984 du béton a était coulé dans un grand nombre de conduit d’ascenseurs et dans les zones d’accès souterraines de la base de Montauk, avant de faire effondrer plusieurs galeries à l’aide d’explosif. Fermant tous les accès utilisées pour arriver aux différentes salles où ont eu lieu les expériences.
Finalement, la base a était abandonnée pour la deuxième fois. Ensuite, le complexe de la base a était donné à l’Etat de New-York. Le secteur fût dès lors géré par l’office des parcs naturels. Et il fût ouvert au public par la suite.
(1) Le frère de Al Bielek. Voir « Les Black Program: le Projet Rainbow » et « Témoignage sur les Black Program U.S. (Partie 3).
(2) Voir « Les Black Program: le Projet MK Ultra/Monarch ».
(3) A cette époque, on ne parlait pas encore de la prophétie Maya concernant 2012. Mais pour notre planète, les voyages vers notre futur, ne leur ont était possible, que jusqu’à 2012. Ils n’ont jamais réussit à aller plus loin. De plus, les premiers enquêteurs sur ce projet, Preston B. Nichols (ingénieur sur le projet) et Peter Moon, parlent bien de cette « limite » infranchissable dans leur livre: « The Montauk project, Experience in time ». Ce livre est paru en 1993, mais n’oublions pas qu’il fût bien sûr écrit avant. Alors, la date « fatidique » de 2012, est loin d’être quelque chose d’illusoire.
(4) Cette « vu d’images » du passé, était en fait un autre projet, relié à Montauk, car il utilisait une partie de la même technologie. C’était le Projet « Looking Glass », « regarder dans le mirroir ».
(5) Voir « Les soucoupes volantes du IIIème Reich », « Les Black Program: Le Projet Paperclip » et « Les Black Program: Le Projet Moon Dust ».
(6) Selon lui, des parties du film « Total Recall » sont basées sur des événements survenus au sein du projet Montauk, en particulier les scènes traitant de la pyramide de Mars et de la chaise de « voyage par son ego ». Pour lire le témoignage de Duncan, voir « Témoignage sur les Black Program U.S. (Partie 5) ».
Source:
« The Montauk project, Experience in time », par Preston B. Nichols et Peter Moon, Editions Sky Book.
Source des informations: http://actualitedelhistoire.over-blog.com/
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